J’ai pu y être pris en charge par des élèves de sixième qui avaient travaillé et préparé des panneaux sur les droits des enfants, découvrir des objets du quotidien d’Afrique et d’Orient collectés dans les familles, déguster gâteaux et boissons préparés par les adultes, être informé des ateliers et de l’engagement de grands frères pour encadrer les plus jeunes, admirer une collection de costumes traditionnels.
Ce n’est pas pour uniquement l’exotisme que cette initiative valait le détour, c’était l’illustration du vivre ensemble que l’on peut attendre dans un quartier.
Pour une première opération, c’est réussi. Souhaitons que cette fête se reproduise l’année prochaine, qu’elle prenne de l’ampleur et qu’elle perdure.